L'enthousiasme

Ceci est un vieux brouillon surement inachevé. Je le publie aujourd'hui tel quel, nous verrons bien si un jour j'écris la suite ! 
 

J'étais en train d'écrire un billet technique et pratique quand la question de l'enthousiasme est venue me chatouiller.

Je ne l'entend plus, cet enthousiasme, comme un élan créateur, une pulsation naturelle, qui part des tréfonds de l'enfant pour le soulever jusqu'à l'apprentissage autonome. Une glace à la fraise suscite de l'enthousiasme.
C'est donc pour moi autre chose qui pousse le mioche morveux, gigoteux et braillard à s'imprégner de son environnement pour se construire. Un truc qui doit tenir de l'instinct de survie d'abord. Froid-protection-faim. Dans cet ordre. Parler-marcher, le mioche, il le fait d'instinct pour SA PROTECTION. Genre la base du Self-défense. Parler-marcher-mâcher, le mioche le fait parce que ça fait parti des besoins vitaux.

Il n'y a pas d'enthousiasme là-dedans. C'est l'instinct animal de la survie. Les comparaisons avec ce qui suit dans la vie du petit bout d'homme n'ont donc rien à voir avec cet instinct de réponse aux besoins VITAUX.

Ce qui suit dans la vie du petit d'homme ? Le reste des fondamentaux, le jeu et la relation sociale, et de là, la naissance de l'intérêt pour tout le savoir-faire humain. Genre "Purée ils m'ont refourgué un super cadeau Bonux pour m'aider dans ma tâche première, survivre !"

Pour moi, on ne peut pas comparer l'apprentissage de la marche et celui du langage avec celui de l'écrit, des mathématiques, de l'histoire, des sciences, de la philosophie, de la géographie... Tout ce que l'homme a pu se créer dans le but de mieux (sur)vivre* dans son espace.






* Ouais, repiquée à un certain David Manise ;-)

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